Inghjustizia :
Injustice :
« U biscottu tocca
à chì ùn hà denti. »
Le biscuit va à celui qui n’a pas de dents.
« La fortuna dà biscotti a chi non ha denti.. » (Talianu)
« Quando c’è il pane, mancano i denti. » (Talianu)
« Chi ha denti non ha fame e chi a fame non ha denti. » (Talianu)
« Chi ha denti non ha pane e chi ha pane non ha denti. »
(Talianu)
„ Chi tene diente nun tene pane e chi tene pane nun tene diente.“ (Campania)
« Chi ha dent n’ha pèn e chi ha pan n’ha dént. » (Emilia)
« Dio manda i biscotti a quelli che non hanno denti. » (Talianu)
« Da Dios pañuelo al que no tiene narices. » (Spagnolu)
« Tel a du pain quand il n’a plus de dents. » (Français)
« Dieu donne de la viande à qui n’a plus de dents. » (Kurde)
« Dieu envoie les pois chiches grillés à qui n’a pas de dents. » (Arabe)
« La fortune envoie des amandes aux gens qui n’ont plus de dents. » (Espagnol)
« Présenter des noisettes à ceux qui n’ont plus de dents. » (Français)
« La fortune envoie des amandes aux gens qui n’ont pas de dents. » (Espagnol)
« Des noix et pas de dents. » (Basque)
« Dieu a donné tous les couteaux aux manchots. » (Africain)
« Il est des fois où Dieu donne coco à celui qui n’a pas de dents. » (Africain)
« U Signori manda u granu
à chì ùn hà saccu. » (v. Diu)
Le seigneur donne du blé à qui n’a pas de sac.
« Quand il pleut de la bouillie d’avoine, le mendiant n’a pas de cuiller. » (Scandinave)
« Quand il pleuvra de la bouillie, les mendiants auront des fourchettes. » (Brésilien)
« Quand les roubles tombent du ciel, le malchanceux n’a pas de sac. » (Russe)
« Quand Dieu envoie la farine, le diable enlève le sac. » (Russe)
« Ceux qui ont une poêle à frire n’ont pas d’arachide ; ceux qui ont des arachides n’ont pas de poêle à frire. » (Africain)
« Celui qui a de la purée n’a pas de cuiller, celui qui a une cuillère n’a pas de purée. » (Créole)
« Quand nous avons le sac, il nous manque le blé ; quand nous avons le blé, il nous manque le sac. » (Espagnol)
« Allah donne le pain à l’un et l’appétit à l’autre. » (Turc)
« Celui qui a de la viande n’a pas de feu, et celui qui du feu n’a pas de viande. » (Haoussa, Afro-asiatique)
« Le monde est ainsi
fait : aux uns, il donne des melons, aux autres des maux d’estomac. »
(Turc)
« Quand nous aurons du
lard, ce sera Carême. » (Basque)
« Ceux qui ont des moyens
n’ont pas de rêves et ceux qui n’ont pas de moyens ont des rêves. »
(Africain)
« A scianza hè pà a canaglia. » (v.furtuna)
La chance est pour la
canaille.
Ùn tocca micca sempri à quiddu chì a merita. Quì
a parola « scianza »
hè un francisumu.
Elle n’échoie pas toujours à
ceux qui la méritent. Ici le mot « scianza »
est un gallicisme.
« À chì
stanta è chì nun stanta pane biancu manghja ; à chì nun stanta,
più biancu lu manghja. »
Celui qui trime et celui qui ne trime pas
mangent du pain blanc ; celui qui ne trime pas, le mange plus blanc.
« Al più tristo porco
vien sempre la miglior pera. » (Talianu)
« À chì ùn pò batta u cavaddu batti a sedda. » (v. cavaddu)
Celui qui ne peut pas frapper son cheval s’attaque à la selle.
Stu pruverbiu moscia bè u mancu
di curaghju par dà capu direttamenti à una situazioni.
Ce proverbe met en évidence le manque de courage pour affronter directement une situation.
« Chi non può dare all’asino, dà al basto. » (Talianu)
« Se scuria la sella, co no se pol scuriar el caval. » (Venezia Giulia)
« Chi no pol bàter el caval, bate la sela. » (Trentino)
« Chi non piò prendersela col cavallo, se la prende con la sella. » (Talianu)
« Chi no podidi iscupiri cun su cuaddu, scpidi cun sa sedda. » (Sardegna)
« Qui ne peut frapper l’âne, frappe le bât. » (Français)
« Parce qu’il ne peut battre le cheval, il bat la selle. » (Albanais et Grec)
« N’ayant pu battre le cheval, il bat la selle. » (Géorgien)
« Si le cavalier ne vient pas à bout du cheval, il accuse la selle. » (Oubykh, parlé en Turquie)
« L’injustice appelle
l’injustice ; la violence engendre la violence. » (Lacordaire)
« À chì nascì,
à chì nascichjò. » (v. nascita)
« C’è chi nacque
vestito e chi nacque striminzito. » (Talianu)
« Quien antes nace,
antes pace. » (Spagnolu)
« Tel richement naquit, tel autre est né riquiqui. » (Français)
« Le premier-né a la
plus grosse part. » (Espagnol)
“I più beddi piri sò
pà i porci.” (v. purceddu, matrimoniu)
Les plus belles poires sont pour les cochons. (Les plus belles femmes sont pour les laids)
« Ai più tristi porci vanno
le migliori pere. » (Talianu)
« .I bu bocù, spes i toca ai piö pultrù.” (Lombardia)
« Il miôr piruc al cjât in bocje al purcit.” (Friuli)
« Les troncs galeux ont des branches
fleuries. » (un homme laid a souvent une jolie
femme). (Chinois)
« Cogliesi
a retula. »
Prendre la meilleure part.
« À chì più ne face diventa
priore. »
C’est celui qui a le moins de
scrupules qui finit par accéder aux honneurs.
« À chì troppu,
à chì micca.
Tout pour les uns et rien pour les autres.
« U guvernu hè
fattu à cricca, à chì troppu à chì
micca.
Une fois c’est trop et une
autre fois ce n’est pas assez.
« A mio
moglia hè fatta à cricca, à quandu troppu à quandu micca. (v. esagerazioni, ricchezza)
Ma femme est comme un loquet,
des fois c’est trop, des fois ce n’est pas assez.
Di l’inghjustizia o di l’insatisfazzioni
cuntinua.
De l’injustice ou de
l’insatisfaction continuelle.
«
A chi troppo e a chi niente. »
(Talianu)
«
Criste, a cchi tante e a cchi niente niente. »
(Abruzzo)
« A chi tanto e a chi niente. » (Campania)
« À quandu
troppu, à quandu micca. » (v. esagerazioni)
Des jours en abondance et des
jours sans rien.
«
Candu troppo, candu nulla. » (Sardegna)
“ Ora abbondanza, ora
carestia. » (Talianu)
« Ùn sò pare e dite, ùn sò pare mancu e
persone. » (v.
diffarenza)
Tout comme les doigts de la main, les personnes, non plus, ne sont pas identiques (égaux).
« Non sono uguali le dita e nemmeno le persone. » (Talianu)
« Le dita della mano non sono uguali. » (Talianu)
« Tutte le dita non son pari. » (Talianu)
« Les doigts d’une main ne s’entressemblent pas. » (Prov. Gallica,
XV° s.) Thème de la proximité dans la diversité.
« Même les doigts Dieu ne
les a pas créés identiques. » (Basque)
« L’esprit d’égalité
extrême conduit au despotisme d’un seul. » (Montesquieu)
« Qui cherche l’égalité
aille au cimetière. » (Allemand)
« Dieu n’a pas créé égaux les dix doigts. » (Persan)
« Il est faux que
l’égalité soit une loi de la nature. La nature n’a rien fait d’égal ; sa
loi souveraine est la subordination et la dépendance. »
(Vauvenargues) »
« Vole fà figliu è figlianu. » (v. pratinzioni)
« Il veut contenter tout
le monde et son père. » (Français)
« Fà
à quale figliolu à quale figliastru. »
Faire des préférences.
« Avè
i so cumpari. »
« Avoir deux poids et
deux mesures. » (Français)
« Fà i so cari di mamma. » (v.mamma)
Faire des faveurs;
donner des privilèges...
A sprissioni veni pò dassi da u fattu chì una mamma faci tuttu pà u so ziteddi. Ùn ci hè più primura nè di u ghjustu nè di u paru. Basta chi u so fiddolu sia cuntentu. Sta sprissioni s’allarga à d’altri fatti è à d’altri circustanzi.
L’expression vient sans doute du fait qu’une mère se sacrifie pour son
enfant. Elle n’a plus aucune mesure ni du juste ni de l’égal. L’important est
que son enfant soit heureux. Cette expression s’emploie aussi pour d’autres
faits ou dans d’autres circonstances.
« U sumeri
porta u vinu è
beie l’acqua. » (v. asinu)
L’âne porte le vin et boit l’eau.
« Non bisogna fare come l’asino che porta il vino e beve l’acqua. » (Talianu)
« Le chameau porte du sucre, mais mange des épines. » (Arabe)
« Le soldat combat et c’est l’officier qui porte les galons. » (Martinique)
« Le soldat paie de son sang la renommée du capitaine. » (Italien)
« Le chameau transporte
du sucre, mais mange des épines. » (Kurde)
« C’est la poule qui
pond et c’est le coq qui chante. » (Kurde)
« Quandu faciu
i cappeddi, nascini omi senza capu. » (v. sfurtuna, avvena)
Lorsque je confectionne des chapeaux naissent des hommes sans tête.
« Fatta la gabbia, morto l’ucello. » (Talianu)
« Nadar, nadar, y a la orilla ahogar. » (Spagnolu)
« Quand nous avons le sac, il nous manque le blé ; quand nous avons le blé, il nous manque le sac. » (Espagnol)
« Se faire poissonnier la veille de Pâques. » (Français)
« Faire naufrage en arrivant au port. » (Français)
« Nous sommes devenus
fossoyeurs et plus personne ne meurt. » (Grec)
« Si une pierre tombait du ciel, elle me
trouverait. » (Catalan)
« Le jour où je voulais de la viande, on pendit le
boucher. » (Catalan)
« À chì più grida, a vacca hè a soia. » (v.
forza)
Celui qui crie le plus fort s’accapare la vache.
«
A chi batte forte, si apron le porte. » (Talianu)
«
Chi grida più forte ha sempre
ragione. » (Talianu).
«
Chi più ziga, ga più ragion. » (Istria).
« La forza ammazza
la ragione. » (Talianu).
« La raison du plus fort est toujours la meilleure. » (Français)
« Les gros poissons mangent les petits. » (Français)
« La force prime le droit. » (Maxime faussement attribuée à Bismark)
« C’est toujours l’âne qui braie le plus fort qui est le plus racé ; la bêtise est tonitruante. » (Malcolm de Chazal)
« Bergers, bergers, le loup n’a tort que quand il n’est pas le plus fort ! » (La Fontaine)
« Tous les moyens sont
bons quand ils sont efficaces. » (Jean Paul Sartre)
« Sporta nova ùn
fà mai prova.
Méfie toi du panier neuf. Il
manque d’expérience.
« O nepita chì
stai cusì imbuffata hai le sette virtù è ùn
sì circata. » (v. campagna)
Marjolaine si belle, tu es si vertueuse et pourtant on ne te recherche pas.
« Jamais à bon chien, il
ne vient un bon os. » (Français)
« À chì
campa è chì campichjeghja,
à chì manghja à chì tastichjeghja. »
Qui vit bien qui vivote mal,
qui mange bien qui goûte seulement.
« À chì
stanta à chì scurnochja. »
Qui peine et qui écosse
(s’amuse).
« Quale
stanta è quale scurnuchjuleghja. »
Qui peine beaucoup et qui
écosse (s’amuse).
« In questa
nostra parochja, e chì stenta e chì
scurnochja. »
Dans cette paroisse il y en a
qui peine et d’autres qui écosse (s’amuse).
« À chì
stanta, à chì ruzzica. »
Qui peine qui ronge.
« À chì
pesa a petra, à chì pidda l’anguidda. »
Qui soulève la pierre, qui
prend l’anguille.
« À chì casa face, à chì a guasta. »
Qui construit sa maison, qui
la démollit.
« A robba,
si sà chì la stenta, ùn si sà
chì la gode. »
Les biens, qui les gagne
péniblement, qui en jouit.
« Uno fila l’altro sen veste. » (Talianu)
« À chì face fortuna, à chì a manghja. » (v. manghjà è bia)
« Souvent celui qui travaille mange la
paille, celui qui ne fait rien mange le foin. » (Rég. Agen)
« Les uns sortent les
châtaignes du feu, les autres les mangent. » (Catalan)
« Quandu
unu tene a cochja, l’altru si lecca i diti. » (v. niscintria, oportunità)
Quand l’un tient la louche,
l’autre se lèche les doigts.
« C’è chi semina e chi raccoglie. » (Talianu)
« C’è chi tira il carretto e chi sta a sedere. » (Talianu)
« Cui si mangia l’ossu e cui si mangia ‘a pruppa. » (Calabria)
« Uno fa il letto e l’altro si sdraia. » (Talianu)
« Un a fa la supa e un aotr la mangia. » (Piemonte)
« Uno leva la lepre e un altro la piglia. » (Talianu)
« Uno lavanta
la saza y atro la
mata. » (Spagnolu)
« Unos tienen la fama y otros cardan la lana. » (Spagnolu)
« S’engraisser de la sueur des
autres. » (Français)
« L’un a mangé les
figues et l’autre les a payées. » (Grec)
« L’un bat les buissons
et l’autre prend les oiseaux. » (Français)
« Qui hésite et bat les
buissons, un autre vient qui prend l’oisillon. » (Anglais)
« L’un soigne le cheval,
l’autre le monte. » (Espagnol)
« A raghjoni hè a toia ma a capra hè a meia. » (v. raghjoni)
Tu as la justice pour toi (tu as raison), mais la chèvre m’échoit.
« La raison se trouve
entre l’éperon et la bride. » (G. Herbert)
« I paganacci sò sempri i stessi (i disgraziati o i povari). »
« Tutti i nodo vengono al pettine. » (Talianu)
« Il sangue del soldato
fa grande il capitano. » (Talianu)
« Pelean los toros, y mal para las ranas. »
(Spagnolu)
« De tout temps les petits ont pâti des
sottises des grands. » (Français)
« Quand un blanc a pété,
c’est le nègre qu’on met dehors. » (Créole, Martinique)
« Le perroquet mange le
maïs, et c’est la perruche qui en est accusée. » (Brésilien)
« C’est le riche qui
commet la faute et c’est le pauvre qui demande pardon. » (Roumain)
« Les poules d’en haut
salissent celles d’en bas. » (Amérique latine hispanophone)
« Quand les riches se
font la guerre ce sont les pauvres qui meurent. » (Jean Paul Sartre)
« Les éléphants se
battent, et le chevrotain au milieu d’eux meurt écrasé. » (Malais)
« Quand les buffles et
les bœufs se donnent des coups de cornes, ce sont les mouches et les moustiques
qui trinquent. » (Vietnamien)
« Quand l’éléphant
trébuche, ce sont les fourmis qui en pâtissent. » (Africain)
« Les généraux
triomphent, les soldats tombent. » (Japonais)
« Le vent et la mer se
querellent, ce sont les voiliers qui en pâtissent. » (Juif)
« Quand deux éléphants
se battent, l’herbe en souffre. » (Swahili, Afrique)
« Tous les poissons
mangent les gens, c’est le requin seul qu’on blâme. » (Martinique)
« Le mouton boit, c’est
le cabri qui est soûl. » (Martinique)
« Un chien attaque
toujours celui qui a les pantalons déchirés. » (Français)
« Sò sempri i stessi chì s’empiani
i bunetti (i stacchi). »
« C’est comme au bal des
pompiers, ce sont toujours les mêmes qui dansent. » (Français)
« On donne toujours du pain à celui qui en a
déjà. » (Allemand)
« Chì arubba pocu va in galera, chì arubba monda faci carriera. »
(v.
arubbera, guerra)
Celui qui vole peu va en galère, celui qui vole beaucoup fait carrière.
« A rubar
poco si va in galera, a rubar
tanto si fa carriera. » (Talianu)
« Chei ruòba ouna galéina va in galeria, chei ruòba ouna sità pianta bandiera. » (Istria)
« Roba ‘n million : baron ; poc : an parson. » (Piemonte)
« Il ladro che ruba assai non è impiccato. » (Talianu)
« Rubar si può, basta rubar di molto. » (Talianu).
« Qui a tué un homme est un
meurtrier ; qui en a tué des milliers est un héros. » (Indien)
« On tue un homme, on est un assassin. On tue des millions
d’hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un Dieu. » (Jean
Rostand)
« Les petits voleurs sont pendus, devant les grands voleurs, on
enlève son chapeau. » (Allemand)
« Celui qui pille avec un petit vaisseau se nomme pirate ;
celui qui pille avec un grand navire s’appelle conquérant. » (Grec)
« Celui qui a volé de l’or est mis en prison, celui qui a volé un
pays est fait roi. » (Japonais)
« Qui a tué un homme est un meurtrier ; qui en
a tué des milliers est un héros. » (Indien)
« U lumu maiò abbaglia u minò. »
La forte lumière éblouit le faible.
« U pesciu maiò si manghja u chjucu. » (v. forza, pesciu)
Le gros poisson mange le petit.
« Il pesce grosso mangia il piccolo. » (Talianu)
« Les gros poissons mangent les petits. » (Français)
« La raison du plus fort est toujours la
meilleure. » (Français)
« Marzu hè inculpatu, ma Austu hè incausatu. » (v.mesi)
Mars est inculpé, mais août est condamné.
« Gennaio fa il peccato e maggio è il condannato. » (Talianu).
« Janvier fait le pêché, mars en est accusé. » (Français)
« Le serrurier est coupable et c’est le forgeron qu’on a pendu. » (Polonais)
« Avoir deux
poids et deux mesures. » (Français)
« Fà i so cumpari. »
Avoir ses
préférences.
« Avoir deux poids et deux mesures. » (Français)
« Une injustice acceptée contre un seul individu est une menace pour
tous. » (Africain)
« Renard n’est pas juge à un concours d’oies. » (Anglais)
« Oghji à me, dumani
à te. »
« Le vent de la prospérité change bien souvent de côté. »
(Almanach perpétuel 1 774) Image des vicissitudes.
« Bastunate à chì
hà ragione. »
Il arrive que l’on condamne parfois un innocent.
« Ci hè pani biancu è pani neru. »
Il y a du pain
blanc et du pain noir. (Expression pour marquer l’inégalité sociale)
« U peghju pani hè par quiddu
chì sgobba. » (v. travaddu)
Le plus mauvais pain est pour celui qui peine.
« Un bon os ne tombe jamais dans la gueule d’un bon
chien. » (Français)